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... en général, c'est une mauvaise idée qui ne fait que dénoncer la souffrance toujours présente à vous accepter et vous assumet telle que vous être DESORMAIS...
Ma dernière lubbie : mr cacher derrière unenfrange épaisse.... Dès que le courage me viendra, vous pourrez me donner votre avis, et je compte sur vous pour qu'il ne soit en aucun cas compassionnel !
A très bientôt,
Cet Oeil qui vous alpague...
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Je poste ici vite fait un lien qui ne manque pas de me faire écho
(pioché sur un site qui fait mouche, donc) et surtout m'inspire moult développements dont je m'emparrerai plus tard quand j'en aurai le temps...
Petit aperçu rapide du contenu :
- liste de borgnes connus:mais de borgnesse,point,si ce n'est par exemple
- quelques citations dont certaines ne sont pas sans saveur : "Ne tombez jamais amoureux d'une femme borgne, vous finiriez par loucher". (Pierre Doris) ou "Quand mes amis sont borgnes, je les regarde de profil". (Joseph Joubert, extrait des Pensées) ou bien encore "Pour guider les borgnes, on dresse les demi-chiens". (Pierre Doris)
- une photo qui ne s'invente pas :
- et biensûr ces deux calembours : "Borgne to be Alive, Borgne to be Wild" dont l'usure ne parvient pas à m'en faire oublier la saveur de leur signification à valeur ajoutée (qui ne naît pas borgne et le devient, peut en renaître to be alive ou to be wild... )
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"La vie défigurée", documentaire par France 3 Côte d'Azur
Doc 24
À travers le témoignage d’une dizaine de personnes blessées au visage, ce film s’intéresse à cette blessure si particulière : comment ces hommes et ces femmes, ont-ils pu reconstruire leur vie et retrouver une identité malgré ce visage défiguré ?
En croisant des témoignages des « Gueules cassées », expression née au lendemain de la Première Guerre mondiale et des victimes du devoir : gendarmes, pompiers ou policiers blessés en service ; ce documentaire inédit et bouleversant, nous permet de suivre les différentes étapes qui ont été nécessaires à leur reconstruction.
Le film retrace le récit de leurs parcours, de ce long combat pour réapprendre à vivre avec un nouveau visage, qui suppose le début d’une nouvelle vie. Ces témoignages poignants font l’originalité de ce documentaire intimiste et permettent de constater que malgré l’évolution de notre société, ces blessés de la face souffrent toujours du regard des autres...
Quelques passages retranscrits :
"Le blessé qui est complètement défiguré -surtout avec le passé qu'il a eu- doit revivre : c'est une deuxième naissance. Il faut l'accompagner, l'aider... Et ça, c'est propre aux défigurations.
Il ne faut pas négliger ce passage, parce que j'ai vu, pendant ma formation de jeune chirurgien, des blessés de la face qui n'étaient pas accompagnés psychologiquement. Et qui lors de leur première permission se suicidaient... Ils se regardaient dans la glace, ils ne se supportaient pas ; ou alors le visage de la famille, de l'entourage : un mauvais regard et c'était catastrophique !
Il faut faire le deuil de son ancien visage, qui ne sera jamais, jamais (celui que l'on avait avant ?)... qui ne reviendra pas. Il faut en faire le deuil."
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